Mon pote pique ma copine

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il y a 2 ans

Il y avait énormément de monde lors de cette fête de quartier. Les derniers ouvriers finissaient d’installer le parque pour danser, d’autres posaient les tréteaux, pour pour poser boissons et autres toast. Pour l’occasion, j’avais invité Claire, ma copine, qui résidait au village à côté, à une trentaine de kilomètres. Je l’avais invitée pour le week-end. Elle a hésité longtemps avant de venir, disant qu’elle ne connaissait personne. Je la rassurais en lui disant qu’il n’y avait que des gens sympas, de tout âge, et que de toute façon, je la présenterais à mes potes.

C’est son père qui doit la mener vers dix neuf heures, quant à moi, je l’hébergeais, et devais la ramener le dimanche sir, vers dix huit heures. C’était l’occasion pour moi, de lui faire l’amour. Tout le week-end. Claire était âgée de vingt deux ans, et était extrêmement belle. Quand son père la déposa, elle me sauta au cou, me couvrit de baisers, dont un sur la bouche...une tuerie. Je la présentais à mes potes qui en profitaient pour lui faire la bise.

  • Putain Chris...tu nous avais caché ça...comme elle est belle.

  • Merci, répondit Claire en rougissant.

Puis j’invitais Claire à monter se rafraîchir à l’appartement, qui se trouvait juste à côté. De le fenêtre de ma chambre, on voyait la rue ou se déroulait la fête. Claire but un jus de fruit, puis entreprit de se changer. Je profitais du moment ou elle était en string et soutien-gorge, pour la caresser. Elle était magnifique.

  • Patientes mon chéri, dit-elle...on a toute le week-end…

-Hum...t’as raison mon amour

Je la regardas finir de s’habiller. Un short blanc moulant, un T-shirt, dont les seins, privée de soutien-gorge, tendaient le tissu...une bombe. Quand on redescendait, des couples d’un certain âge étaient déjà sur la piste de danse. Claire et moi, rejoignons les potes au bar. Après une ou deux gorgés de whisky, j’invitais Claire à danser le slow. J’aimais la sentir dans mes bras, à ce moment là, on était seul au monde. Puis les gens commençaient à s’agglutiner, il y en avait de partout. Tant et si bien, que des couples de voisins se mélangeaient sur la piste. Mathieu me demanda, s’il pouvait inviter Caire, à danser. Mathieu était mon meilleur pote, comment lui refuser. Pendant ce temps, j’allais rejoindre les copains au bar.

Soudain, Xavier me fait remarqué, que Caire et Mathieu se serrent de près. Je connais Claire et Mathieu, je leur fais confiance. Mathieu ne me ferai jamais un sale coup. Mais il est vrai que leur slow est langoureux. A un moment, je vis Claire s’écarter, et regarder un endroit précis, de l’anatomie de Mathieu. Je me dis qu’a force de s’être frotter le bassin, le sexe de Mathieu en avait subi le résultat.

Je compris qu’il fallait que je le tire de ce mauvais pas. Je fis signe à Claire de me rejoindre, qui me répondit le pouce levé, signalant que c’était le dernier slow. Je leur reprochais leur attitude, leur faisant remarquer que leur danse était un peu érotique, et risquait de choquer certaines personnes. De mon côté, j’avais remarqué que Claire ne laissait pas Mathieu indifférent, et au cours de ce torride slow, je me suis aperçu que Claire était sensible aux charmes de Mathieu, tombeur de femmes s’il en est. Mais bon, fallait juste être vigilent, Après le dernier slow que nous avons fait ensemble, Mathieu prit la relève. Xavier me dit que, qu’à chaque tour, elle envoyait un grand sourire à Mathieu, et que celui-ci le lui rendait bien.

La nuit commençait à tomber, et le DJ annonça la dernière série de slow. On avait prévu de finir la soirée chez moi, entre copains, dans le grand salon. Tout était prévu. Malgré mes doute, je ne pus refuser quand Mathieu invita Claire sur le dernier slow de la soirée, ne voulant pas passer pour un jaloux. J’étais au bar avec les potes, quand la danse finit. Les gens se précipitaient au bar pour prendre un dernier verre, mais je ne vis pas Claire, ni Mathieu.

Je fis le tour de la place, rien, la petite ruelle adjacente, rien, si ce n’est la boulangère qui se faisait prendre en levrette par le buraliste, et la bouchère qui taillait une pipe à son commis. Soudain, j’aperçus une fable lueur, provenant de ma chambre. Je montais les escaliers quatre à quatre, et me trouvait dans le hall. J’entendis des gémissements provenant de la chambre. C’est par la porte entre ouverture, que sortait la faible lumière. J’entendis un autre gémissement, plus fort celui là.

Je regardais à travers a porte, et vis Mathieu debout, le short à ses chevilles, et la tête brune de Claire s’activer au niveau de son entre jambe. Elle était en train de lui tailler une pipe, tout simplement. Je me sentis immédiatement humilié, frustré. Je voulais lui crier dessus, lui demander pourquoi elle faisait ça. Mais que pouvais-je dire qui ne me ferait pas sentir, encore plus humilié, que je l’étais déjà. Mathieu fit une queue de cheval avec les cheveux de ma copine, et tira d’avantage sa tête sur sa queue. Ses yeux se refermèrent, alors que Claire lui faisait une gorge profonde. Il gémit lorsque ses couilles touchèrent son menton. Les yeux de Mathieu s’ouvrirent, et tourna les yeux vers la porte. Il a du me voir, car je lis un air de surprise passait sur ses yeux, avant de me lancer un regard plus fort. Il bougea sa main, et continua d’enfoncer sa bite, dans la bouche de ma copine. Ses gémissements devinrent de plus en plus fort, à mesure que sa bite coulissait entre les lèvres de Claire. Sa main la forçait à garder son calibre en bouche. Il baissa les yeux sur elle.

  • Ton copain est là

Elle retira la bite de sa bouche, et jeta un regard dans la pièce ou je me trouvais, sans aucuns scrupules.

  • Je suis désolé, mon chéri, tout en continuant ses caresses. On était en train de danser, et je sentais sa queue à travers son jean. Je voulais la voir…

  • C’est pas sa faute, elle n’a pas pu résister, dit Mathieu en soufflant, lorsque Claire lui lécha ses grosse couilles, jusqu’au gland décalotté.

Elle savourait les sensations, lorsque sa langue glissait sur chacune de ses veines.

  • En plus, elle aura bientôt fini, sourit Mathieu, on pourra rejoindre les autres.

En fait, les autres, ils devaient nous attendre, déjà installés dans le salon, en train de boire des coups. Je voulais les précipiter, mais...

  • Allez mec, laisses-la juste finir sa pipe, et on pourra dire que tout cela, ne s’est jamais passé. Sinon, je pourrais tout balancer. De toute façon, je pense que ce n’est pas bon pour toi.

  • Putain, t’es devenu fou...tu veux que je laisse ma copine te sucer la queue?

Au moment ou je finissais ma phrase, Mathieu cria.

  • hé...les gars…

Je rentrais rapidement dans la chambre, et fermais la porte.

  • Putain mec...fais pas çà…

  • Très bien, attends juste un instant et tout sera terminé.

Même pendant que nous discutions, Claire utilisait ses deux mains pour le faire gicler, tandis que sa bouche enveloppait le bout de sa bite. Je restais bouche-bée. Elle retira la bite de sa bouche, un filet de bave liait le bout de la bite de Mathieu à sa langue.

  • Encore un peu plus bébé, ensuite ça sera terminé, je le jure.

Je regardais, impuissant, l’énorme queue de Mathieu, coulisser entre les lèvres de ma copine. Elle retourna à sa queue, et Mathieu gémit une fois de plus.

  • Oh, putain, c’est tellement bon. Fais moi une gorge profonde, je veux que tu travailles pour avoir ta récompense.

Claire reprit le rythme, sa bite descendait gracieusement le long de sa gorge. A chaque poussée, sa gorge émettait un son, et je savais que ce son signifiait qu’elle faisait une excellente fellation.

  • Bon sang, tu suces les bites comme une vraie salope Claire. On dirait que Stephen t’a bien entraînée.

Il me fit un clin d’œil. Claire fit un son pour confirmer alors qu’elle continuait d’agiter sa tête sur sa bite de façon enthousiaste.

  • T’es une salope bébé ?

  • Hum” dit-elle.

  • Tu aimes sucer ma bite ?

Elle acquiesça autant que faire se peut, avec une telle bite dans la bouche.

  • Tu aimes être une pute à la fac, non ? Tu te bourres la gueule avec des mecs pour ensuite finir sur les genoux d’un étranger qui te branle la chatte, pendant que tu tailles une pipe à un autre. Qu’est-ce que ça fait de toi ? Dit-il, la regardant et attendant sa réponse.

Elle retira la bite de sa bouche mais continua de faire glisser sa main de haut en bas le long de son mandrin.

  • Une pute à la fac, je ne peux rien dire!

Elle sourit et retourna à son travail. Je m’assis à côté sur une chaise, je regardai juste. J’étais trop choqué pour pensé à quoi que ce soit, mais je ne voulais pas partir, parce que si je le faisais, ils pourrait la baiser. Mathieu alla vers son bureau et prit son téléphone. Il l’ouvrit pour allumer l’appareil photo et le pointa vers Claire.

  • Mec, pas de photos. Je croyais que tu avais dit qu’on allait oublier tout ça. La dernière chose que je ne voulais c’était que quelqu’un d’autre sache ce qu’il s’était passé. Merde, personne ne devait savoir...

  • Ferme-la mec, je les montrerai à personne.

Je ne le pensais pas, mais puisqu’il avait la bite dans la bouche de ma copine, je sentais que c’était la fin de la discussion. Il appuya sur le bouton d’enregistrement et je vis sur l’écran Claire qui manquait de s’étouffer avec sa grosse queue. Il baissa le téléphone pour avoir un meilleur angle. De cette façon, lorsqu’il poussa à nouveau sa tête vers le bas, on pouvait voir sa bite toute entière entrer dans la bouche de Claire, ce qui accentuait la profondeur à laquelle sa bite allait dans sa gorge. Il continuait de filmer sa fellation pendant une ou deux minutes de plus avant de commencer à gémir.

  • Oh putain ouais chérie, continue de me sucer comme ça, laisse-moi voir tes yeux.

Elle leva ses yeux vers le téléphone et continua d’enfoncer la bite dans sa bouche.

  • Putain, ouais, dit-il en fermant les yeux, tu assures grave. Je vais jouir, je veux jouir...je veux que tu avales tout...je veux te remplir de foutre, petit pute.

Elle accéléra, tirant sur sa bite avec ses mains, respirant profondément.

  • Oh putain, putain, dit-il avant de retirer sa bite de la bouche de Claire, tout en tirant ses cheveux pour qu’elle le regarde.

Sa bite tressaillit rapidement avant qu’il ne commence à jouir. Beaucoup de sperme giclait dans la bouche de Claire, alors qu’elle regardait innocemment la caméra. Il la posa sur le front de ma copine jusqu’à ce qu’elle puisse à peine ouvrir les lèvres. Son visage était en partie couvert de son foutre qui coulait de son visage vers ses lèvres. Il la lâcha et elle attrapa immédiatement sa bite à nouveau, la suça doucement et passionnément alors que son sperme coulait de son visage. Il gémit encore plus et dit,

  • Ouvre ta bouche, voyons voir ce que t’as salope.

Claire ouvrit la bouche et montra à la caméra le sperme dans sa bouche. Elle continua de nettoyer sa bite puis alla jusqu’aux boules, les léchant tandis que sa bite se reposait sur sa joue. Ce salaud avait tout enregistré.

  • Putain Jenny, c’était tellement bon. Tu ressembles vraiment à une salope recouverte de foutre maintenant! C’est peut-être ce que tu es, dit-il tout en regardant ma copine à travers le téléphone.

Claire éjecta la bite de sa bouche, resta à genoux et regarda la caméra.

  • Tu as ans doute raison, dit-elle.

Elle détourna le regard de la caméra et me regarda. Je restai assis sur la chaise, encore une fois bouche-bée. Elle avait un regard coquin lorsqu’elle se releva.

  • Je suis désolée, je devais le faire Stephen, c’était juste tellement bon. Mais tu restes mon chéri, je t’aime...je le jure. Viens, allons rejoindre les autres.

Avant de quitter la chambre, je fit promettre à Mathieu de ne rein dire sur ce qui s’était passé. Il me regarda en souriant, tout en rangeant, avec regret, son calibre dans son short. Arrivé au salon, je m’aperçut que les potes avaient pas mal consommé. Je me doutais que certains allait coucher ici. A part Mathieu, qui occupait une chambre sur le même palier. Soudain, on pote Pat demanda.

  • Stephen, t’aurais pas un film porno, pour nous tenir éveillé.

  • A ouais, poursuit Didier...une fille qui taille une bonne pipe…

J’accusais le coup, alors que Claire et Mathieu se regardaient en souriant. Je coupais court en disant qu’il était tard, et qu’il fallait d’installer les sacs de couchages. Pendant ce temps, Claire était à la salle de bain, en train de mettre sa tenue pour la nuit. Ne la voyant pas arrivé, je le levais pour savoir ce qu’elle faisait. Elle n’était pas seule à la salle de bains. Mathieu était avec elle. Ils se donnaient un sulfureux baiser, tandis que la queue de Mathieu, coulissait dans la main de ma copine. Il la stoppa, l’assit sur le plan du lavabo, et lui ôta sa culotte. Puis il plongea son visage entre ses cuisses, et entreprit de lui bouffer la chatte. Claire se cambrait sur la langue vicieuse qui la possédait. Puis il décalotta le clitoris, l’aspira de se lèvres. Claire ne mit pas longtemps à atteindre l’orgasme. J’en avait assez vu, et regagnais ma chambre. Je ne revis Claire, que le dimanche après-midi. Je lui demandais des explications, ou elle avait passé tout son week-end. Elle m’avouait l’avoir passé chez Mathieu, à baiser.

  • Si tu savais mon chérie, il m’a niquée toute la nuit du vendredi, et il voulu remettre ça le samedi matin. Le midi, il a commandé des pizzas, puis on s’est remis au lit tout l’après-midi. C’est là que je me suis faite sodomiser pour la première fois. Jusqu’à il y a une heure, on a fait l’amour. Il m'a baisée, sodomisée, je lui ai taillé des pipes, j’ai tout avalé. T’es pas fâché mon amour.

  • Et moi qui avait envie de caresser ta chatte.

  • Ben mon chéri...ça risque pas. Regarde ma petit chatte dans quel état elle est, mes lèvres sont toutes enfles...et mon clitoris, tu as vu comme il est gros, et tout rouge, il reste tout le temps décalotté. Impossible de supporter une culotte. Je vais être obligée d’aller au lycée, ma petite chatte à l’air. Connaissant ces vicieux d’étudiants, à tout les coups, ils vont vouloir me mettre un doigt. Je vais leur dire d’aller doucement. A oui, Mathieu m’a proposée de me ramener. Il veut que lui taille des pipes tout le trajet. Allez mon amour, je te teins au courant...bisous...

Qu'elle histoire...!ça donne envie d'être de la fête...!
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